L'appel à candidatures 2024 pour les bourses de la Fondation est clos.
Les trois premiers chapitres de l’enquête pour laquelle Pierre Vanneste (Photographe 2019) a reçu la bourse Photographe de la Fondation, est paru dans la revue belge Tchak.
L’agriculture intensive ne peut se passer des engrais phosphatés. Au cœur de leur fabrication, l’extraction du minerai de phosphate et sa transformation en acide phosphorique. De la Belgique au Sénégal en passant par la France, l’Espagne et la Tunisie, Laurence Grun et Pierre Vanneste ont enquêté sur cette industrie polluante et dangereuse pour la santé. En fil rouge, des milliers de tonnes de déchets – radioactifs et contenant des métaux lourds ! – dont la peau et les corps vont garder l’empreinte pendant des générations. Point de départ, Engis et la multinationale Prayon.
Intitulé « P2O5, l’empreinte toxique du phosphate », le reportage sera également disponible sous forme de webdocumentaire mi-novembre avec du contenu exclusif, disponible en plusieurs langues, afin que l’enquête soit accessible dans chacune des zones couvertes par ce projet de long terme.
P2O5, l’empreinte toxique du phosphate
Un projet réalisé par : Laurence Grun & Pierre Vanneste
Paru en septembre dans la revue Tchak