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Après avoir exploré l’art d’écrire dans Le mystère Henri Pick (Gallimard, 2016), c’est à la peinture et à la sculpture que s’intéresse David Foenkinos dans son dernier roman Vers la beauté.
Inspiré de la célèbre phrase « C’est la beauté qui sauvera le monde » écrite par Dostoïevski dans L’Idiot, l’auteur y fait le récit d’un personnage, Antoine Duris, professeur aux Beaux-Arts de Lyon qui, du jour au lendemain, décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d’Orsay. Personne ne connaît les raisons de cette reconversion ni le traumatisme qu’il vient d’éprouver. Pour survivre, cet homme n’a trouvé qu’un remède, se tourner vers la beauté.
« Il faut lire ce roman comme on regarde un chef-d’œuvre. Et en accepter toutes les nuances, le bonheur comme la noirceur ».Mohammed Aïssaoui, Le Figaro
Vers la beauté
David Foenkinos
Editions Gallimard, Collection Blanche
Paru le 22 mars 2018
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